100% des chapons sont castrés sans anesthésie
dans de grandes souffrances

La castration
des poulets :une pratique cruelle

Lors du chaponnage, l’opérateur retourne l’animal, lui attache les pattes et les ailes pour l’immobiliser et incise son abdomen sans anesthésie (les testicules des volailles étant situés à l’intérieur du corps).

La plaie est maintenue ouverte avec un écarteur et une pince est utilisée pour arracher les testicules (une incision de chaque côté de l’abdomen est même parfois nécessaire).

Entre cage et
enfermement : des conditions d’élevage indignes

Au-delà de la castration, les conditions d’élevage des chapons soulèvent des questions éthiques importantes. En élevage conventionnel, les animaux sont détenus dans des bâtiments fermés toute leur vie. Dans les productions sous signes de qualité IGP, AOP et label Rouge, les chapons ont accès au plein air, avant parfois d’être enfermés plusieurs semaines durant la période dite « de finition ».

Pire encore, pendant cette période les chapons de Bresse sont, quant à eux, détenus en cage, dans la pénombre et leurs ongles sont préalablement épointés afin de réduire les griffures. Et ce, notamment, dans le but de préserver l’apparence de leur peau pour satisfaire le client...

Un taux de
mortalité
élevé

Nous ne disposons malheureusement pas de données « officielles » sur le taux de mortalité dû à la castration des chapons, mais nous pouvons affirmer qu’un nombre conséquent de poulets ne survivent pas après le chaponnage.

D’ailleurs, la mortalité en production de chapons label Rouge atteint environ 6%, contre 3% pour les poulets fermiers qui ne sont pas chaponnés.

Chapons standard, de Bresse, label rouge ou Bio : tous sont castrés à vif !
Le chaponnage sans souffrance n’existe pas !

Le chapon ne fait pas l’unanimité !

La Belgique a interdit le chaponnage il y a 20 ans.
En France plusieurs parlementaires ont récemment interpellé le Gouvernement à ce sujet.

Nous pouvons tous agir pour mettre fin à cette pratique !

Je refuse d’acheter et de consommer du chapon à Noël

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Je signe pour améliorer les conditions de vie des poulets

Si des milliers de poulets sont castrés à vif, c’est pour le seul plaisir gustatif des consommateurs !

La question du goût de la viande est en effet le seul et unique motif qui explique pourquoi cette mutilation perdure encore aujourd’hui.

C’est donc à nous, consommateurs,
de mettre un terme à cette souffrance en refusant d’acheter et de consommer de la viande issue du chaponnage.

N’oublions pas les millions d’autres poulets !

Alors que 3 millions d’animaux sont castrés sans anesthésie pour la production de chapons, 800 millions d’autres poulets sont élevés pour leur viande.

Ces poulets sont consommés toute l’année et la grande majorité
d’entre eux sont issus d’élevages intensifs !


Dans ces élevages, les animaux souffrent :

Environnement
inadapté
  • >> Fortes densités
  • >> Enfermement en bâtiment
Sélection
génétique
  • >> Problèmes locomoteurs graves
  • >> Maladies cardiaques et respiratoires

Le Gouvernement
doit agir !

Les élevages français de poulets sont parmi ceux, en Europe, qui présentent les pires conditions d’élevage :
en majorité, on y trouve jusqu’à 22 poulets par m² !




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Merci pour
votre engagement !

Claustration, croissance rapide,
densités élevées…voici le triste sort
de 83 % des 800 millions de poulets
élevés en France.

En tant que citoyen
consommateur, nous pouvons tous
agir au quotidien pour améliorer la situation de millions d’animaux.